Retraites, Equateur, Volcan : calamité

Vous vous souvenez, quand je vous disais que la Lufthansa avait perdu ma trousse à maquillage ? 
Ce jour-là, j’ai essayé d’être de bonne composition et de ne pas trop ma plaindre, mais la Lufthansa n’avait pas perdu que ça. Un certain nombre d’objets manquaient (bouh je fais des fautes quand j’écris le soir) dans ma valise, dont mon Guide du Routard, bible de préparation de mes vacances. 
Mes vacances où ? Mes vacances quand ? 
Le 14 octobre, en Equateur. 
Si vous avez lu Le Monde ou traîné sur le site des affaires étrangères ces deux-trois dernières heures, vous êtes donc en train de (plusieurs réponses possibles) : 
– vous dire que la perte de mon guide de l’Equateur par la Lufthansa était un signe du destin
– vous marrer, mais c’est pas sympa du tout 
– compatir. 
Si vous n’avez pas lu Le Monde : c’est la guerre. Enfin, c’est une sombre histoire de retraites, mais contrairement à chez nous où il n’y a juste plus de RER, ben là, y a des gens armés partout et un aéroport fermé. 
Premier réflexe : aller sur le site du ministère des affaires étrangères. Trois volcans sont à nouveau entrés en activité cette année, dont le dernier avant-hier. 
Je crois que je vais pouvoir rayer « racheter Guide du Routard Equateur » de ma todo list. 
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2 thoughts on “Retraites, Equateur, Volcan : calamité

  1. Dis donc tu cumules, après le forfait pour la Parisienne, le forfait pour l’Equateur…
    Le coup du volcan en bonus c’est la goutte d’eau qui fait déborder le pastis. Ca m’a fait penser à cette brave femme vue aux infos y’a quelques jours : elle s’est fait ravager sa maison par Xynthia (la tempête, par la guerrière moyenne-nageuse), et puis quelques jours plus tard elle s’est faite cambriolée. Intégralement cambriolée. La goutte d’eau en l’occurrence, c’est quand on voit la dame dans sa salle de bain vide face à un mur troué : « ils ont même volé ma baignoire ».
    Bon dans ton cas je compatis (mais pour la dame, j'avoue, j'ai ri…)

    Siparunenuitdhiver

  2. Cher Siparunenuitdhiver,
    J'avoue, j'aurais probablement ri pour la baignoire aussi.
    Ceci dit, j'ai ri pour l'Equateur, après tout, on ne va pas pleurer, et je n'ai pas dit mon dernier mot : l'aéroport a encore 13 jours pour rouvrir. Aujourd'hui, ils ont libéré le Président.
    Reste à voir si je vais ajouter à mes échecs un forfait pour Odysséa.

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