Qu’est-ce qu’on mange ? #Semaine de l’avocat

Cette nouvelle semaine a marqué un certain changement dans mon rythme de vie : un peu avant ma grossesse, j’ai commencé à préférer pratiquer le yoga le matin plutôt que le soir. Après la naissance de ma fille, ce choix est presque devenu une obligation, car nos horaires de travail respectifs permettaient à Cher&Tendre de s’occuper d’elle et l’amener chez l’assistante maternelle le matin, tandis que je pouvais (et devais) aller l’y chercher tous les jours à 18h30. Donc je faisais du yoga le matin, soit à Mysore Yoga Paris, soit dans mon salon.

Ce rythme a très bien fonctionné pendant plus de 2 ans, mais ces dernières semaines, l’enfant a développé la fâcheuse manie de se réveiller au premier grincement de parquet. Après quelques séances de yoga ratées (c’est à dire que j’ai mis mon réveil à 6h50 pour pratiquer, et qu’à 7h05 je me suis retrouvée en leggings avec une furie sur mon tapis, et bonne pour faire 1h de coloriage, puzzles et autres avant de me préparer pour le travail), je me suis dit qu’il allait falloir changer de stratégie (le tout après une nuit relativement courte car l’enfant a aussi décidé de ne plus aller sagement se coucher à 20h30, mais de protester jusqu’à plus de 22h, soit un coucher à pas loin de minuit pour ses parents ensuite).

Alors certes, une fois de temps en temps, c’est mignon et j’ai apprécié ce petit moment avec ma fille avant d’aller au bureau. Sauf qu’au bout d’un moment, je me suis retrouvée à ne plus faire de yoga et de fort mauvaise humeur quand j’arrivais au travail après avoir lu Tchoupi au lieu de faire du yoga, avec une journée de travail en perspective et une soirée en solo avec ma fille jusqu’à 20h30 (puis les fameuses négociations jusqu’à quasi 22h, pour lesquelles la zenitude conférée par le yoga du matin serait bien appréciable).

C’est ainsi que j’ai décidé de revenir à un bon vieux classique : le duo baby-sitter + cours de yoga ou sport du soir. Du coup évidemment, quand on rentre chez soi à 21h30, on cuisine un peu moins (et il faut avoir prévu bien à l’avance les repas de l’enfant pour que le baby-sitter puisse les lui donner).

Lundi matin, c’était porridge (avec sirop d’érable et gomasio, ma version préférée).

Le midi, je suis allée à un cours de yoga (celui de Paola, à Yoga Village, j’aime beaucoup) et j’ai commandé un Bo bun végétarien dans un restaurant du quartier en revenant au bureau. J’ai découvert récemment (enfin il y a un an je pense) que la grande majorité des restos qui proposent des bo buns, même s’ils proposent une option végétarienne, la servent avec la même sauce (à base de sauce de poisson ou nuoc mam je ne sais plus, mais pas végé dans tous les cas) (c’était une déception assez difficile à encaisser). Donc pour une version vraiment végéta*ienne : il faut demander sans sauce (et c’est un peu sec, ne nous mentons pas, ça gâche la joie du bo bun). Du coup, j’ai acheté un flacon de sauce pimentée pour rouleaux de printemps (pas du tout saine ou bio mais vegan) (le premier ingrédient, c’est le sucre…) chez Monop’, que je laisse dans le frigo du bureau pour pouvoir commander des bo buns sans sauce et les asperger de sauce sucrée/salée/pimentée.

Le soir en rentrant, je me suis fait une assiette mezze avec les steaks de betterave préparés le weekend, une sauce aux épinards (la sauce préférée de ma fille, qu’elle réclame toujours avec ses pâtes) (la recette est ici même si en réalité je change toujours selon le contenu du frigo, avec ou sans ail, plus ou moins de fromage végane…), du Creamyrisella, de l’avocat et de la roquette. (J’ai préparé la sauce en grande quantité en prévision de mon absence pour préparer le dîner de l’enfant les trois soirs suivants).

assiette mezze vegan
Plateau repas pas fancy du lundi

Mardi matin, j’ai mangé un muesli trop bon avec ma copine Karine après avoir donné un cours de yoga à Big Apple Yoga. Le muesli, c’est pas vraiment mon truc, mais ceux-là sont délicieux, pas trop sucrés, bien croustillants et nourrissants, je trouve. L’endroit est cosy et calme, c’est sympa après un cours de yoga matinal pour un petit déj express.

Le midi, je voulais tester un nouveau traiteur/cantine/resto du midi qui a ouvert dans le quartier où je travaille et que j’avais vu sur les réseaux sociaux. Ca s’appelle Ensuite, et ça a l’air de fonctionner un peu comme un bar à salade, mais avec des plats chauds également (on choisit sa base, sa sauce, etc etc), le tout élaboré par une naturopathe il me semble. Sauf qu’il y avait une queue de dingue et que ça ne m’avait pas l’air très vegan friendly (un plat végétarien sur les trois plats, avec sauces au yaourt ou fromage pour tous les trucs qui auraient pu sembler végétalisables). Du coup je n’ai pas eu envie d’attendre 20 minutes pour repartir bredouille ou avec un repas sec parce que j’aurais dû demander une version sans sauce et je me suis rabattue sur le traiteur chinois d’en face, qui a une super jolie devanture qui fait envie. Le plat de tofu pimenté était hyper bon, les légumes sautés, dégueus (trop peu cuits, et beaucoup trop d’oignons – crus du coup) et les raviolis vapeur aux légumes pas mal mais un peu fades. J’y retournerai pour le tofu, seulement.

Déjeuner vegan au bureau (dans des barquettes en plastique pas écolo)
Déjeuner vegan au bureau (dans des barquettes en plastique pas écolo)

Le soir j’ai donné un cours de yoga jusqu’à 20h et suis rentrée chez moi à pas loin de 21h (Mini Smooth avait donc eu des pâtes à la sauce aux épinards avec un steak végétal de chez Monoprix). Mobilisant tout ce qu’il me restait d’énergie et de motivation, j’ai décidé de faire à manger pour le reste de la semaine. Dahl de lentilles corail version ultra simplifiée (sans faire revenir d’oignons d’abord, avec du curry thaï rouge et en faisant tout cuire en même temps) (bah ça marche très bien en fait hein) et de la semoule « instantanée » qui gonfle dans l’eau bouillante pendant 5 minutes (un mélange « couscous » sans gluten au citron et graines de chia, acheté au magasin bio – très bon mais texture plutôt polenta que couscous, peut être parce que j’ai mis un peu trop d’eau, je ne sais pas). En préparant, j’ai mangé de la salade verte et un avocat écrasé avec du citron et du sel. Quelques tartines de tartare d’algues et Creamyrisella et ça a fait office de dîner.

Mercredi matin j’ai fait cuire mon porridge en mettant mon repas du midi dans un bento, le tout en essayant d’habiller ma fille et de lui brosser les dents, et sans arriver au bureau à une heure scandaleuse. Pas évident. Mais du coup à midi, je n’ai pas eu besoin de sortir m’acheter à manger après avoir donné cours de yoga, et j’ai pu manger mon dahl de lentilles, avec 1/2 avocat (on pourrait croire que j’achète 50 avocats par semaine mais non, j’en commande trois chaque semaine dans mon panier bio, et il s’avère qu’ils étaient tous mûrs en même temps cette semaine-là) (j’ai gardé la 2ème moitié pour le goûter), de la semoule et des graines germées. Super bon et nourrissant pour une grosse journée.

Après le bureau, je suis allée donner un autre cours de yoga, et à 20h45, j’ai rejoint ma copine Faustine pour participer à son cours de méditation, toujours à Big Apple Yoga. On a ensuite mangé des pad thaï chez Kapunka, juste à côté du studio. Chez Kapunka, ils font des pad thaï végétaliens, sans nuoc mam ni œufs (si vous vous posez la question, pendant ce temps ma progéniture a remangé ses épinards qu’elle adore avec le deuxième steak végétal du paquet) (c’était un steak Herta, on a eu un débat passionnant sur la question avec mes copines vegan, et on a fini par en conclure que bon, c’est pas jojo d’acheter du Herta, mais que ma foi ça participe à la démocratisation des simili-carnés et autres options végétales) (bon de toute façon comme la composition est loin d’être irréprochable, ça ne peut qu’être un achat occasionnel).

Jeudi matin, j’ai failli céder à la flemme de ne pas faire cuire mon porridge et de m’acheter du pain à la boulangerie, mais j’ai vaillamment résisté. Le midi j’ai mangé avec un collègue chez Chipotle, paradis du déjeuner omnivore/vegan, puisque l’un peut commander une assiette viande/fromage pendant que l’autre se gave de haricots rouges/guacuamole. C’est à peu près ce qui s’est passé. Avec double ration de guacamole pour moi (triple en fait parce que j’ai terminé le sien, aussi, horrifiée que j’étais quand j’ai vu qu’il s’apprêtait à le jeter).

Le soir, j’ai rejoint Karine à la Gym Suédoise, cette fois-ci avec elle en tant que prof et moi en tant qu’élève, à l’inverse de notre mardi matin. Après 1h de Cardio-Pump, j’avais FAIM (et mal aux abdos) (et aux biceps). Direction Vegebowl, avec une petite salade de papaye et une soupe Pho 100% vegan et trop bonne (et de l’eau de coco aussi) (et du vin rouge) (j’ai déjà dit, hein, que j’adorais cet endroit ?).

La soupe pho, ce plat tellement bon impossible à trouver en version vegan, sauf dans un restaurant vegan
La soupe pho, ce plat tellement bon impossible à trouver en version vegan, sauf dans un restaurant vegan

Vendredi matin, c’était porridge à la banane mangé au bureau après avoir déposé ma fille chez la nounou. Le midi, j’avais un pot au bureau, et j’ai tenté le coup de ne pas manger avant ni après pour profiter du moment plutôt qu’aller acheter à manger sous la pluie. Ce n’est pas le repas le plus équilibré du monde, mais j’ai finalement pu m’en tirer avec quelques tartines de houmous, des radis et tomates cerises, des olives et quelques chips. Et du champagne.

Le soir par contre, j’avais sacrément faim. Je n’ai pas pu m’empêcher de goûter mon nouveau fromage vegan, le José de chez Jay&Joy, avant le dîner. Bilan : pas mal du tout mais pas mon préféré de la marque. Je me suis fait une énorme assiette de dahl de lentilles, avec un demi avocat, encore (ceux du nouveau panier, qui cette fois-ci étaient arrivés tous quasi prêts à manger). Comme ma fille n’aime pas le dahl de lentilles, j’en profite pour mettre du piment dedans quand je le cuisine, mais du coup je ne peux pas retenter le coup de lui en donner (je vais ré-essayer la prochaine fois, tiens). Pour elle c’était donc un porridge salé avec des petits pois, du fromage vegan et de l’avocat.

Samedi matin, après un réveil pas trop matinal (merci Peppa Pig et l’âne Trotro pour ces 45 minutes de répit chaque weekend) et une banane pour tenir le coup, j’ai filé au cours de Benoît P. à Yoga Village. Cours à la limite du Bikram tellement il y avait de monde (j’ai compté 40 personnes dans la salle), mais malgré tout fantastique si on oublie la transpiration qui nous coule le long des chevilles (oui) dès la troisième salutation au soleil. En rentrant j’avais faim (et soif) et pas envie de faire à manger, d’autant que Cher&Tendre et Mini Smooth avaient déjà mangé. Je me suis aperçue que mes steaks de betterave allaient bientôt faire la tête et me suis empressée d’en mettre un dans du pain à burger, avec de la Mozzarisella aux herbes en tranche (nouvelle gamme de la marque, que je trouve très réussie), de la purée d’olives, de la mayo vegan et des graines germées. HOP : burger en 5 minutes. J’ai mis les autres steaks au congélateur pour un futur jour de disette.

Le burger plein de légumes prêt en 5 minutes (avec du pain Harry's par contre)
Le burger plein de légumes prêt en 5 minutes (avec du pain Harry’s par contre)

Pour le goûter, j’ai fait des crêpes (recette à la bière de Absofruitly) et j’en ai recyclé certaines pour un dîner chandeleur du mois de mars : crêpes aux fromages vegan (mélange de Jay&Joy Pimenté et de Mozzarisella / Mozzarisella-Purée d’olives)… et crêpes sucrées. Mon enfant étrange a décrété qu’elle ne voulait pas de crêpes pour le dîner alors je lui ai fait cuire des ravioles du Dauphiné, son repas préféré au monde (à égalité avec les saucisses de tofu, les œufs et la coque et la sauce épinards aussi).

Dimanche matin, grâce au nouveau réveil-lapin, Mini Smooth n’a pas débarqué dans notre chambre avant 9h. Au réveil, j’ai pris une banane et un lait au chocolat, avant de rejoindre mes copines Happy Yogis pour un brunch au Café Fauve, près de Bastille. J’aime bien cet endroit, c’est cosy, la nourriture est simple et faite maison, c’est plutôt vegan friendly mais en revanche, ils n’ont pas l’air de trop aimer qu’on vienne bruncher avec nos enfants, ni qu’on arrive en avance / en retard / avec une personne de plus ou de moins que prévu (enfin personne n’aime trop ça mais il ne faut pas se mentir, un dimanche à Paris ça arrive quand même souvent, et les restaurateurs cachent plus ou moins bien leur agacement) (ce coup-ci, c’était plutôt moins bien donc). Bref, endroit sympa mais si vous avez réservé pour 6, venez à 6 et à l’heure prévue, plutôt sans enfant (après y a des gens qui s’en fichent hein, mais moi je suis du genre à stresser si j’ai 10 minutes de retard, si je gêne les gens en demandant une autre chaise, ou si ma fille parle un peu trop fort ou se met à pleurer au resto, donc je préfère éviter les endroits où on te fait bien sentir avec des soupirs et regards exaspérés que OUI, ton quart d’heure de retard, ton enfant et ta personne supplémentaire gonflent la personne en charge du service ce jour-là). Mais sinon la tartine avocat/houmous était top (même si moins jolie que la dernière fois que j’y étais allée), le jus très bon et le pain super frais.

fauve

J’avais assez bien mangé pour me passer de goûter, et j’ai passé la fin d’après-midi à cuisiner pour la semaine, histoire de ne pas refiler des pâtes et raviolis tous les soirs à l’enfant. J’ai donc préparé un velouté de carottes multicolores (conseil : la carotte violette c’est super joli SAUF en soupe, où ça fait maronnasse. Comme les enfants – et les adultes, aussi – mangent un peu avec les yeux, la carotte violette est donc mangée crue chez nous, et le reste en soupe).

Bonus : l'enfant voulant goûter toutes les couleurs, ça lui fait avaler 4 rondelles de carotte, c'est toujours ça de pris.
Bonus : l’enfant voulant goûter toutes les couleurs, ça lui fait avaler 4 rondelles de carotte, c’est toujours ça de pris.

Soupe express de carottes :

Faire cuire les carottes à l’eau, avec du bouillon si on veut (j’en mets rarement). Mixer avec de l’eau, une grosse cuillère à soupe de purée d’amandes blanches, du tamari, un demi citron confit, du curcuma, du poivre et du cumin.

Voilà.

J’ai aussi cuisiné une sauce bolo vite fait pour terminer une bouteille de coulis de tomates entamée, avec une recette un peu à l’arrache, inspirée des diverses recettes de bolognaise que j’ai déjà pu voir :

Bolo express :

Faire revenir un oignon et une gousse d’ail dans de l’huile d’olive, ajouter du coulis de tomates (il restait environ 350 ml dans ma bouteille + le fond de la bouteille rempli d’eau pour bien récupérer toute la sauce, donc disons 1/2 litre en tout), des herbes (thym, herbes de Provence, basilic séché ce coup-ci), des épices (curcuma et paprika) et ici, du tofu rosso émietté. Le coulis était un peu acide alors j’ai utilisé la bonne vieille méthode de nos industriels : j’ai mis une cuillère à café du sucre (complet). Saler, poivrer, laisser mijoter un peu (15-20 minutes chez moi), ajouter de l’huile d’olive bien parfumée en fin de cuisson. HOP.

Et puis dernière motivation : j’ai préparé des steaks de champignons, la recette de steaks végétaux que je préfère : celle de Saveurs Végétales. J’ajoute un peu de fumée liquide dans la pâte et je n’ai jamais de persil sous la main, mais sinon je ne change rien (à part que je double les doses parce que c’est trop bon et que tout le monde aime à la maison, pour une fois). J’ai fait avec des pleurotes de mon panier bio. Ma fille a mélangé elle-même (et fait des boulettes avec ses petites mains potelées), elle était trop contente (et les enfants aiment bien manger ce qu’ils ont cuisiné).

Au dîner donc : une petite soupe de carottes, 2 galettes de champignons et un peu de fromage Jay&Joy. Pas l’assiette la plus jolie du monde, mais c’était bon pourtant.

soupe

Le reste au frigo/congélateur pour la semaine suivante.

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5 thoughts on “Qu’est-ce qu’on mange ? #Semaine de l’avocat

  1. La dernière fois que j’ai mangé un bobun végé, je n’ai pas eu la même sauce que mon chéri qui avait de la viande, je me suis dit qu’il n’y avait pas de poisson dans la mienne, mais je n’en sais rien en fait.
    La cuisson des légumes, j’ai l’impression qu’il faudrait donner des cours à l’école, croquants ou trop cuits et fadasses … sérieusement, pourquoi tant de haine ?!
    J’ai fait une fois du pho maison, j’y ai passé beaucoup de temps, mais c’est vrai que c’est super bon 🙂
    Le sacrilège pour les pleurotes ! J’aurais jamais osé en faire des steaks ^^ (quoi je suis psychorigide ??)
    Cool que tu aies trouvé la solution pour faire plus de yoga, même si forcément ça coûte plus cher avec la nounou.

    • Ah mais peut être que certains restos font bel et bien une sauce à part hein !
      Moi je n’en ai jamais vu mais j’ai pas fait 50 restos non plus. Le dernier ils m’ont proposé de la sauce maggie (mais ils ont le bo bun végé à leur carte tu vois, ça veut dire que par défaut ils proposent le bo bun végé avec sauce non végé si tu demandes pas). Celui d’avant je les aime bien et j’y vais depuis des années alors j’ai pas osé les confronter mais j’ai vu la dernière fois qu’ils prenaient le même flacon de sauce pour tous les bo bun et un autre, je me suis carrément fait traiter de chiante par le serveur, quand j’ai demandé si la sauce contenait du nuoc mam ou sauce de poisson et qu’il m’a répondu « bah oui c’est la base, sinon c’est pas bon la sauce bo bun » et que j’ai dit « oui je suis d’accord mais du coup c’est pas vraiment végétarien comme bo bun… ». Bref.
      Je dis rien pour la cuisson des légumes, moi même je ne suis pas hyper douée : pourquoi tu crois que je mange principalement des soupes, croquettes et fondues de légumes, haha ?!
      Haha oui j’avoue que les pleurotes, comme j’en ai toutes les semaines dans mon panier, je les traite moins de manière « sacrée », je suis devenue blasée, haha !!!

  2. A priori il existe une version végétarienne de la sauce de poisson : https://www.amazon.com/Vegetarian-Fish-Sauce-Nuoc-Chay/dp/B00GO57I2I mais je ne sais pas ce que ça vaut.
    Faudrait que je regarde, dans un livre des éditions La Plage, ils proposent un mélange de sauce soja / vinaigre de riz / sucre / mirin … pour faire l’équivalent. Mais je trouve ça hallucinant la remarque de la personne, ils vont un bo bun végé pour répondre à une demande, mais ils se demandent pas pquoi les gens sont végé, et ils se disent pas que la sauce c’est aussi important !!!!
    Je ne sais pas si elle fait des ateliers de cuisine sur les légumes, mais peut être qu’il y a moyen d’avoir des conseils de Melle Pigut si tu prends un cours avec elle 🙂

    • Oui clairement, dans ce cas on dirait que « végé » est interprété comme « sans bouts de viande ou poisson » en fait. Peu importe que la sauce en contienne ! (c’est comme les couscous dont on te retire les morceaux de viande, je suppose que c’est parce que les gens voient ça comme un dégoût de la chair animale et du coup ne voient pas le problème du bouillon ou du fait que ce soit cuit avec, pour eux ce n’est pas une allergie ou une religion…).
      Merci pour la sauce, je regarderai ça, tiens !
      Hihi oui un cours sur la cuisson des légumes pourrait me faire du bien (mais bon entre les cours d’animateur sportif, les cours de yoga et les cours de tricot… ma foi pour le moment je vais me contenter de cuisiner de manière moyenne mais qui me convient avant de chercher à m’améliorer ;))

  3. Alors plusieurs questions / remarques très diverses me viennent :

    -est-ce que, par hasard, tu sais où je peux trouver un cours de yoga qui se cale le midi, sachant qu’au delà de 1H30 de pause déjeuner, ça commence à être un peu indécent (or, je suis située sur la ligne 4 à Saint Sulpice) ? J’imagine qu’il faut que je trouve un cours qui dure seulement 1h, du coup…

    -as-tu une chouette recette de dahl de lentilles ? Celle que j’ai voulu utiliser n’avait aucun intérêt, j’étais tristesse…

    -qu’est-ce que c’est qu’un réveil-lapin ? Parce que ma fille se réveil à 6h45 tous les matins depuis des semaines, y compris le WE et j’en ai ras le… Du coup je suis prête à tout essayer

    Je suis moi même dans un grand dilemme pour combiner enfant qui se réveil au moindre grincement et régulièrement au milieu de la nuit / boulot prenant / envie de faire du sport… Et pour le moment, je n’arrive pas à bien tout combiner (mais j’avoue que la flemme et la fatigue y sont souvent pour quelque chose).

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