Du yoga avant, pendant et après la grossesse

Je sais pas si je vous ai déjà dit que j’étais fan de yoga ? Je crois que oui. Sinon voilà : j’aime le yoga.

Ceci est l'unique photo que j'ai trouvée qui ressemble un tant soit peu à du yoga.
Ceci est l’unique photo que j’ai trouvée qui ressemble un tant soit peu à du yoga.

L’histoire d’amour a commencé pendant ma chimio, très précisément en mars 2009. Alors que je n’étais pas sportive pour un sou , voilà que 4 mois de traitement et d’alitement ou presque avaient réussi à me donner envie de sport (c’est la même chose que quand on veut les cheveux lisses parce qu’ils sont bouclés et vice versa : enfermée chez moi avec interdiction de me fatiguer, après avoir maté tout Dexter, Six Feet Under, How I Met Your Mother… j’ai eu envie de faire du sport). Ou au moins de bouger, m’aérer, faire quelque chose, pour supporter les 4-5 mois qui restaient à tirer (à cette époque j’ai même supplié mon médecin de me laisser reprendre le boulot à mi-temps thérapeutique, c’est dire si je tournais en rond).

J’ai donc cherché un cours de yoga tout près de chez moi (parce que si je devais marcher 15 minutes pour y aller, c’était foutu, j’allais arriver exténuée) et j’ai trouvé Le temps du yoga et de la relaxation, rue Daguerre. Pendant 2 ans, je me suis « réparée » là-bas, grâce aux cours de Christine, tellement adorable. Au début je dormais pendant la moitié du cours, je ne faisais que la moitié des postures, mais je sortais de là heureuse, sereine. Le fameux « yoga buzz ».

Puis j’ai eu envie de quelque chose de plus dynamique, de plus « costaud » pour correspondre à mon tempérament d’hyperactive qui n’était plus chimiotique, d’où un léger abandon du yoga, que je ne pratiquais plus que de manière épisode et qui était très largement remplacé par la Gym Suédoise à hautes doses.

Il y a environ 2 ans, le yoga est revenu dans ma vie, je ne sais pas trop comment. C’est là que j’ai découvert le yoga Ashtanga (je mets le lien des vidéos du centre de République même si je n’y ai jamais mis les pieds, parce que j’ai commencé comme ça avant d’aller à un cours en vrai), le Vinyasa et mon idole Tara Stiles (d’ailleurs j’avais envisagé d’appeler Mini Smooth Tara, parce que j’adore le prénom, mais je me suis dit que ça ferait vraiment trop groupie alors j’ai abandonné l’idée), grâce à laquelle j’ai pu faire 1 à 2h de yoga chaque jour sans bouger de chez moi.

Ensuite, je suis tombée enceinte (pourquoi « tomber », d’ailleurs ? C’est moche, ça vraiment « oups, j’ai pas fait exprès » alors que bon… non rien, en fait).

Après avoir lu sur des blogs et divers sites que l’Ashtanga et le Vinyasa étaient plutôt déconseillés pendant le 1er trimestre de la grossesse (qui est un temps de nidation, alors que ces yogas dynamiques font plutôt éliminer (on en sort « vidé », d’ailleurs), avec beaucoup d’inversions, de twists et de postures qui ne font pas trop rêver quand on a envie de garder son bébé oeuf dans son ventre, et constaté que les cours de yoga prénatal, en raison de leurs horaires, étaient plutôt destinés à des femmes déjà en congé maternité (11h ou 15h en semaine, par exemple), j’ai décidé de rester chez moi pour faire du yoga.

Et donc, après tout ce blabla, le but principal de l’article, c’était de vous donner des ressources pour pratiquer le yoga quand on est enceinte. Smooth, experte en introduction concise. Parce que personnellement, j’ai un peu galéré pour trouver des trucs vraiment chouettes.

Je commence tout de suite par LE bouquin que j’ai choisi et adoré (après en avoir feuilleté un certain nombre) : Yoga Grossesse d’Adeline Blondieau (oui, c’est cette Adeline-là). Personnellement je trouve qu’il faut déjà avoir de l’expérience pour pratiquer une activité juste à l’aide d’images (ça vaut pour le tricot, le yoga, la gym, n’importe quoi). Mais pour quiconque a déjà pratiqué, il est absolument parfait : il y a beaucoup de choix de postures, qu’on peut combiner comme on veut, des explications sur les bienfaits des postures et les contre-indications, des variantes. Le tout trié par trimestre de grossesse, avec une belle partie postnatal et des très belles photos. Bref, c’était ma bible. Chaque trimestre, au bout d’une semaine ou deux j’avais mémorisé la plupart des postures et je m’étais composé 1 séance un peu type que je modifiais en fonction du temps dont je disposais (même si j’ai du mal à me rappeler pourquoi j’avais l’impression de manquer de temps alors que je n’avais pas d’enfant) et de mon énergie du jour (l’énergie d’une femme enceinte étant très variable).

J’ai aussi acheté deux DVD de yoga, qui étaient sympa mais un peu moins mon genre (je ne pourrais pas l’expliquer, mais ils sont objectivement bien faits) : il y a un niveau débutant et un niveau avancé et je crois avoir vu qu’une version piratée existe sur YouTube mais c’est pas très bien quand même.

Et en version plus rapide et gratuite, j’aimais bien quelques cours sur YouTube, notamment ceux de Katy Appleton, recommandés par une lectrice. Tara Stiles a aussi fait une petite vidéo de 10 minutes pour la grossesse, ce que je trouve cool parce que parfois, on a envie de faire un peu de yoga. Juste un peu avant d’aller dormir, pas plus.

Ensuite, parce qu’il faut quand même sortir de chez soi aussi, et que le congé mat finit par arriver (précédé de 2 mois d’arrêt maladie pour moi de toute façon), j’ai testé 4 cours différents de yoga prénatal :

– celui de l’Institut Gasquet à Montparnasse, sans conteste le plus rigoureux, puisque très technique et ciblé. Mais il manque la dimension un peu spirituelle et recentrage sur soi du yoga, à mon goût. Mais à côté de ça, c’est absolument parfait pour dénouer les tensions, travailler sur les faiblesses, et tout ça hein. Je n’ai fait que deux cours parce que c’était un peu tard le soir et que j’étais complètement cuite dès 17h30 au début de ma grossesse, et qu’ensuite j’ai déménagé.

– celui de Casa Yoga, dans le 10ème : c’est celui que j’ai le moins aimé, même si la prof et le studio étaient très sympas, c’était trop mollasson pour moi (pour ma copine de grossesse aussi). Après peut-être que c’est parfait si on est très fatiguée, si on est en toute fin de grossesse, ou autre. Mais ça ne m’a pas convenu.

– celui du Yoga Village, entre Opéra et Madeleine. La salle est superbe, la prof était top. Je n’y suis allée qu’une fois parce que c’était en bas de mon boulot et qu’ensuite j’ai été arrêtée, mais j’ai toujours ma carte de 5 cours que j’ai achetée sans hésitation en sortant du cours et je retournerai à Yoga Village pour faire du Vinyasa quand j’aurai repris le travail.

– celui de Trini Yoga, dans le 10ème. C’est celui où je suis allée tous les mardi matin entre janvier et mars (les 2 dernières semaines, j’étais trop grosse, j’avais trop la flemme et je faisais du yoga chez moi) : Marie-Rose est une prof vraiment douée (je trouve), la salle n’est pas mal mais pas folle (parfois ça pue un peu, peut-être parce qu’ils gardent plein de tapis des adhérents et que la plupart des cours là-bas sont de l’Ashtanga, où on sue. Mais bon, quand même). Et ensuite pour aller manger dans le coin, y a plein de trucs cool (notamment le Café Pinson).

Quant au postnatal, comment dire… Je reste assez circonspecte quant à la notion de Yoga Postnatal, en fait. D’abord pendant les 6 premières semaines (12 en cas de césarienne), on n’a le droit de rien faire. On peut s’étirer le dos si on veut, faire le chat, ce genre de trucs. C’est du bon sens, pas forcément besoin de vidéo, de cours ou de livre. Ensuite, bah… aller à un cours de yoga quand on a un bébé de 6 semaines ? Je vais me permettre un petit LOL. Du coup là encore, dès que j’avais 15 minutes j’ai pratiqué un peu en regardant les postures conseillées dans mon livre Yoga Grossesse. Et finalement, au moment où j’ai à nouveau un peu plus de temps disponible, avec un bébé de bientôt trois mois qui fait presque ses nuits (enfin parfois, quoi) et des siestes dignes de ce nom (parfois, aussi), ben j’ai fini ma rééducation du périnée et j’ai envie de passer à autre chose. De sortir de ma condition de « femme enceinte, jeune maman, maman allaitante » etc. De faire du yoga comme tous les autres gens, en y allant doucement mais sans contre-indication particulière.

Donc : Tara Stiles is back. J’ai acheté sa vidéo « Gentle » (parce que Strong, je galérais déjà un peu avant d’être enceinte alors que je donnais 3 cours de Gym par semaine et faisais 7h de yoga, alors que maintenant, j’aligne vaguement 3 pompes et encore, alors je vous explique pas mon moral si j’essaie de faire un headstand) (et puis j’ai pas fini la rééducation abdominale alors je dois encore y aller mollo quand même).

Et avec un sens du timing inouï, la Gym Suédoise vient de créer une nouvelle intensité : ça s’appelle le Flex et c’est inspiré d’un mélange Yoga / Pilates et ça a l’air trop bien. D’ailleurs j’y vais mardi prochain. Je serai la fille qui n’a plus d’abdos et qui checke son téléphone toutes les 5 minutes pour vérifier que sa fille va bien.

Smootheries sur les réseaux sociaux

13 thoughts on “Du yoga avant, pendant et après la grossesse

  1. Merci pour toutes ces infos !! je ne suis pas du tout yoge : je cours ou je nage.

    Je pense continuer la course (10km en 1h20) jusqu’au 6ème mois en alternant avec de la nage et finir par faire que de la nage sur la fin. T’en penses quoi ? je déteste tout ce qui est pilates, yoga, etc… je suis essentiellement Cardio et je tiendrais pas des cours où je saute pas partout :/ (ah et je vis au Canada donc je sais pas trop ce qui s’y fait).

    Bon courage pour ta reprise !

    • Ah mais je ne savais pas (ou alors je l’ai su et oublié, n’oublions pas que je suis un peu à l’ouest en ce moment ?) que tu étais enceinte ? Ou alors ce sont des projets ?
      Alors la nage, évidemment pas de souci, c’est l’un des sports les plus indiqués pendant la grossesse, moi je déteste l’eau chlorée, la piscine en hiver, etc mais c’est dommage parce que ça doit être sympa de nager enceinte.
      La course à pied c’est controversé. Certaines continuent, d’autres arrêtent. Moi j’étais une épave, enceinte : aucune endurance (alors que je courais 10km en 1h avant ma grossesse, dès le 1er mois j’étais méga essoufflée juste en montant 3 étages ), anémie, fatiguée, molle… Bref j’ai du abandonner très vite la cardio, même le cours niveau « Basic » de gym suédoise me collait des migraines d’effort. En fait le plus important c’est de ne pas sortir de ta zone de confort, quand tu es enceinte, je crois. Surtout au niveau respiratoire : si tu manques d’oxygène, le foetus aussi. Donc faire des pauses si on est essoufflée, y aller plus doucement, etc. Mais ça n’empêche pas tout le monde de courir !

      • C’est en projet… rapide dirons-nous donc je me prépare !!

        Oui, j’avoue qu’entre ce que je veux théoriquement faire et ce que je serais capable :p On verra sur le moment et si je peux pas la course je ferais essentiellement de la nage. Je me vois déjà grosse baleine augmenter le niveau de l’eau dans la piscine >< XD

        La gym suédoise, depuis ton dernier poste me tente graaaaave faut trop que je regarde si ça se fait au Québec !!

        • Ah mais tu as raison de te préparer et aussi d’être consciente qu’il faudra adapter le moment venu, je pense. 🙂 Je te souhaite bien du bonheur dans ton projet bébé, c’est trop cool tout ça !
          La gym suédoise, il y en a au Canada, mais pas beaucoup et je suis pas sûre qu’il y en ait déjà au Québec… 🙂

  2. Je n’ai jamais fait de yoga (même si j’ai très envie mais impossible avec ma vie actuelle), je n’ai pas d’enfant et je ne suis pas enceinte et pourtant j’ai lu ton article avec plaisir 🙂

    • Merci ! 😀
      Pour le yoga, tu peux peut être faire des petites sessions de 10 minutes chez toi avec des vidéos You Tube, si tu n’as pas plus de temps ? Moi je faisais les mini routines de Tara Stiles (entre 7 et 30 minutes) quand je bossais beaucoup (tiens, un exemple : https://www.youtube.com/watch?v=dRsC1YdXqOc)

  3. Je suis contente de te lire de nouveau.
    Merci pour les liens, ça vas me servir! Je débute ma grossesse et je me posais justement pas mal de questions sur quelles activités physiques je pourrais maintenir ou non et quelles nouvelles activités je pourrais mettre en place.

    • Félicitations pour ta grossesse ! Profite bien de tous ces jolis moments (et des pas cool aussi, ça fait toujours des souvenirs, héhé). 😉
      Ravie d’avoir pu te donner quelques idées sur les activités que tu pourras maintenir ou non… Mais après c’est surtout une question de ressenti, il faut se faire confiance. 😀

  4. Je déduis de tes 2 posts quasi coup sur coup qu’il y a un moment où on récupère un peu de temps pour soi malgré tout!
    Pour donner des nouvelles, je rebondis sur l’article sur le yoga, je crois vraiment que s’il y a un truc qui m’a aidé pour l’accouchement (il y a pile un mois), c’est bien ça : entre les postures qui aident à ouvrir le bassin et la découverte de la respiration profonde, ben j’ai pu avoir (presque) l’accouchement que je voulais, sans péri et sans episio. Bon, si j’avais pu éviter les trois heures avec col dilaté à 8/9 ne voulant plus bouger, ou les deux heures de bébé bloqué en haut du bassin, ça m’aurait arrangé, mais bon. Et le cordon serré autour du coup avec du coup bébé furax d’avoir ete aspire qui hurle non stop pendant les deux heures du peau à peau, bof quoi 😉
    Mais accouchement top, séjour à la maternité au poil avec un début d’allaitement nickel, c’est la suite qui est hard.
    Au retour à la maison, micro princesse change crescendo, en hurlant de plus en plus, de plus en plus souvent, en restant collée au sein non stop, en seffondrant d’épuisement dessus parfois, en s énervant dessus souvent. Je suis au bord de la crise de nerf au bout de 2 semaines, tout le monde me parle de coliques et me conseille de patienter, mais j’attends la pesée à la pmi comme le messie pour me rassurer. Du coup, il y a 10 jours, j’accueille le verdict de la pmi comme un coup de massue : zéro prise de poids en 10 jours, on file chez le pédiatre qui nous envoie aux urgences pediatriques pour un bilan complet. Au terme d’une longue soirée et d’une virée à Necker, on apprend qu’elle a unepathologie cardiaque, une CIV, et que du coup c’est ça qui l’epuisait au sein et l’empêchait de s’alimenter assez. La pauvre hurlait parce qu’elle était affamée, je ne te raconte pas ma culpabilité…
    Du coup depuis 10 jours on est à l’hôpital pour qu’elle prenne du poids, j’ai stoppé le sein car trop fatiguant pour elle, ça m’a fait mal au coeur mais le tire lait et le biberon sont mes amis. Et la sonde gastrique permet de la nourrir quand elle s’endort sur son bib (de moins en moins souvent). On retourne voir la cardiologue jeudi, j’ai hâte de savoir s’il y a eu évolution de sa civ (à priori, elle a des chances de diminuer seule, sans opération). Voili, voilà, j’essaye de garder le moral en admirant les progrès de micro princesse, qui est maintenant un bébé adorable!
    J’espère que de ton côté le rgo continue d’être bien maîtrisé, et que tu profites bien de la fin de ton congé mat. Tu reprends quand (question qui fâche)

    • Oui il y a un moment où on récupère du temps. 🙂 Celui où les siestes rallongent, celui où tu peux ranger ton linge et ta vaisselle pendant que le bébé est réveillé parce qu’il ne doit pas toujours être dans les bras sous peine de pleurer… A partir de là, tu ranges ton linge quand le bébé est réveillé (ça lui fait un spectacle : j’ai mis quelques temps à comprendre que ma fille préférait m’admirer en pleine action yoga / lessive / préparation de valise plutôt que je m’asseye au pied de son transat pour discuter 1h avec elle – même si elle aime bien discuter un peu), tu fais (éventuellement) la sieste pendant la sieste n°1 et la sieste n°2… c’est la fête : go go go, tu as 1h à 3h pour toi. J’ai commencé à voir le bout du tunnel à la fin du 2ème mois et à avoir vraiment un peu de temps libre vers ses 10 semaines (je me suis d’ailleurs dit que franchement, c’était vache de mettre la fin du congé mat à 10 semaines, c’est le moment où tu quittes à peine le mode « survie »). Après honnêtement, je trouve qu’au bout d’un moment, on a l’impression que c’est pas suffisant, finalement : il y a 2 mois je n’avais pas le temps de faire pipi ou de manger, et maintenant que j’ai le temps de faire la sieste / faire du yoga / bloguer / manger à ma faim, ben j’aimerais avoir le temps de PLUS (aller au resto, glander sur Internet pendant 1h, dormir plus de 5h d’affilée – alors que bon 5h c’est cool déjà ! etc).
      Félicitations pour la naissance de ta fille ! Je suis contente que tu aies eu l’accouchement que tu voulais et désolée pour son problème de coeur… J’espère vraiment, vraiment, que ça va se régler seul sans opération, ce serait un grand soulagement j’imagine. J’imagine que les 15 jours avant l’opération ont du être très très durs, pour toi et pour elle… Je suppose que tout le monde te répète de ne pas culpabiliser, mais j’ajoute ma pierre à l’édifice : ce n’est pas ta faute ! Et puis les petits bébés à cet âge n’ont pas encore de pleurs différenciés, et ils pleurent quand même tous assez souvent… comment savoir que c’est parce que quelque chose ne va vraiment pas, quand on n’a pas l’expérience ! J’ai lu un truc qui m’avait fait vachement de bien : on est une bonne maman parce qu’on VEUT être une bonne maman, et de ce côté là, je crois que tu y es. Pour le reste, tu fais au mieux de tes possibilités. 🙂 C’est génial les progrès des premiers mois, il y a un nouveau truc tous les jours (aujourd’hui, Mini Smooth a regardé ses pieds avec attention pendant 3 minutes, j’étais pleine d’admiration, haha). Bravo de continuer au tire-lait ! Tu as pris un manuel, un mini électrique, un gros électrique à double pompage ? 🙂
      Je croise les doigts pour vous et j’espère que tu profites quand même un max de ces premières semaines tellement spéciales !
      J’ai prolongé mon congé mat, pris des vacances, etc… du coup je reprends début septembre. Elle aura presque 5 mois donc je trouve ça mieux et puis ça me gonflait un peu de faire l’adaptation chez la nounou, le tire lait et tout le tintouin, juste pour le mois de juillet, pour faire 1 mois de pause en aout et recommencer en septembre, mais sans adaptation cette fois, en prime : je trouvais ça rude pour moi et je réalise maintenant que ça aurait été très déstabilisant pour un petit bébé de cet âge (là je suis chez mes parents, rien que de changer de lieu, elle a fait une nuit BLANCHE la 1ère nuit, genre réveils en panique toutes les 45 minutes et 10 à 20 minutes de bercements pour la calmer à chaque fois…). J’appréhende un peu, mais je suis aussi contente de ce début de « vraie » vie, avec gym ou yoga du matin, boulot, une pause déj digne de ce nom et une petite routine en famille le soir : ça va être chouette aussi. 🙂
      N’hésite pas à donner des nouvelles (par commentaire ou mail si tu préfères) !

  5. Je découvre à peine ton site mais dis toi que tu viens de gagner une fidèle lectrice… Je connais quelques soucis de santé et le yoga m’offre une nouvelle vie. Hate de te lire.

    • Merci pour ton commentaire ! J’espère que tes soucis de santé vont s’arranger !

Répondre à Smooth Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *